Note: C'est mon premier reçit que je publie, j'espère qu'il vous plaira!
Le bruit des pas se faisait de plus en plus lourd. Ils résonnaient partout dans le chateau, pourtant si sobre et si silencieux a l'acoutumée. Dans la salle du conseil, Grambil attendait anxieusement son messager. Il faisait les cents pas autour d'une table brune au bois épais. La salle du conseil était un salle au plafond si haut qu'on avait du mal a en appercevoir le bout. Les murs étaient imbibés d'un mucus verdatre indeffinissable, propre aux coutumes Nurgeliques. L'homme était gras, épais et trapu. Son visage était recouvert d'une couche de mousse a la teinte kaki. Il tripotait anxieusement ses mains potelées en gromelant. Soudain, la grande porte de bois mort qui donnait l'acces a la salle du conseil s'ouvrit a la volée. Un homme ésoufflé, tout en sueur, se précipita vers son chef. Il tenait dans sa main tremblotante un bout de papier. Il s'avanca du mieux qu'il pu et la tendit a son superieur. Celui-ci déplia la lettre. Horreur, elle était marqué du sceaux tant redouté. Il lu dans un silence religieux.
Vermine chaotique,
Moi, Marçerus Vladimir Scholomank, grand inquisiteur au service de sa sainteté l'Empeureur, et dirigent de la confrerie de L'Ordre Du Marteau Salvateur
vous informe que votre cas a été jugé.
La sentence est rendue, l'hérésie est constatée. Vous devrez purger la peine maximale. Bruler dans les flammes de l'enfer pour l'éternité.
Oblitération totale.
Aucune remise de peine ne sera tolérée.
Vous pouvez disposer.
Adieux.
Marçerus.V.Scholomank
Le nurgle lacha le bout de parchemin et se rua vers la porte, aussi vite que son embompoint le lui permetait. Il l'ouvrit a la volée et continua vers un groupe de gardes.
- Vous là! Bande de larves! leur hurla t-il.
Le groupe se retourna vers celui qui les interpelait. Aussitot qu'ils virent le haut gradé, ils se mirent en ligne droite et relativement ordonnée, tout en cramponnant leurs bolters.
- Capitaine?! dirent-ils tous d'une même voix
- Servez a quelque chose, et aller prévenir toute notre armée de se préparée a un assaut immédiat! Et faites vite, chiens galeux! Leur aboya t-il. Equipez les canons, et faites les chauffer. Apportez asser de munitions pour tirer toute la nuit! Que tous nos hommes soit prets avant une heure! Regroupez vous tous derrière la coline, et au plus vite! Utilisez la technique de defence rapide habituelle!
Aussitot qu'il eut fini, les serviteurs de nurgle s'empresserent d'effectuer les ordres.
- Jamais je ne me laisserait avoir par ces dégénérés de fanatiques! Souffla Grambil pour lui.
***
- Nous, Ordre du Marteau Salvateur, avons pour devoir d'annihiler ces dégénérés de fanatiques! Criait un homme a un millier de soldats. Que le plomb de vos bottes écrasent leurs corps, que l'épée divine de dame Justice les pourfende! En avant!
Tandis qu'il disait ces mots, un millier de voix l'acclamèrent en coeur. Un millier de soldats, surchargés d'armes ayant si souvent tranché les têtes qu'elles étaient imprégnées de rouge. Tous des vétérans, ayant une foi aveugle en l'empeureur. Cette poignée d'homme allait affronter un flot de monstres et de créatures sorties de l'enfer, et pourtant nul n'avait peur. Chacun savait comme les suppos de Nurgle étaient sans pitié, comme ils étaient fourbes et laches, impitoyables et brutaux, comme ils ignoraient l'idée même de la frayeur. Et pourtant, ces mille hommes étaient sereins, tranquilles, concentrés. Tous pensaient a leur chef, le grand inquisiteur Marçerus, en train de distribuer quelque derniers ordres.
- Monsieur, doit on faire des prisonniers? Vint demander un soldtat fin au visage ravagé de contusions.
- Les ordres sont clairs. Pas de survivant. Oblitération absolue de toute forme de vie.
Le guerrier sourit. C'était tout ce qu'il attendait.
- Allons y! Souffla l'inquisiteur.
Et mille hommes donnerent le pas de concert vers ce qui ressemblait plus a une ruche qu'a un palais. Le terrain était apte a une bataille frontale et directe. Pas de bois pour tenter d'ambuscade, pas de montagne ou cacher l'artillerie, pas de plate-forme ou se regrouper en cas de repli. Pas d'éspoir de survie en cas de defaite. C'était une gigantesque plaine, ou l'herbe grasse et humide formait un long tapis chatoyant. Ce qui était paradoxale en sachant qu'a quelque centaines de mètres seulement s'élevait l'avant avant post le plus fourni en sbires de nurgle que cette planète n'eu jamais connue. Le ciel était d'un bleu vif, clair et limpide, ou quelque cumulus s'étendaient timidement. C'était par ce temps radieux et sur cette étendue de verdure qu'allait se dérouler une batailler infernale. L'inquisition marchait religieusement, tel un fauve marchant vers sa proie. Soudain, par dela le seul relief qu'offrait cette gigantesque mer végétale, les soldats virent apparaitre ce qui semblait tout d'abord être une ombre. Puis deux ombres. Puis une dizaine, et encore d'autre continuaient à affluer. Des centaines, des milliers d'humanoïdes s'accumulait sur un plateau, surplombant de quelque mètres les mandatés de l'inquisition. L'armée de Nurgle apparaissait maintenant distinctement, et elle prenait plus la forme d'un horde sauvage que celle d'une armée.
"Des monstres! - pensèrent les soldats.
Sur la première ligne s'étendait d'inombrables créatures aux teintes mousseuses, armés de mécaniques archaïques, de lames rouillés, de crocs impressionant. Tous étaient couverts de bras, d'yeux et pattes a foison, brouillés par une couche vaseuse et gluante, tous plein de verues diformes, de bubons, des blessures, de trous, de plaies et de tumeurs. Telle un armée de malades grangrénés, les démons de Nurgle souflait des râles de mourant, hurlait la mort en guise de chants de guerre. ces choses immondes n'avaient plus peur de la mort, puisqu'ils l'incarnaient véritablement. Ce qui semblait être leur chef ( le moin humain peut être), brandit une lame énergétique a faire frémir les charognards, et tous ces démons hurlèrent en coeur. Et puis, après un silence qui précède chaque bataille, les bêtes difformes chargèrent. Le raz-de-marée allait s'abattre sur la frêle jonque battue par les flots. Du moin, elle en donnait l'impression.
- Inquisiteur! Cria un gradé a l'interessé. Cela ne se passe pas comme prévu! Qu'allons nous faire?
Mais il n'écoutait pas. Il souriait, implacable, comme ammusé par le spéctacle. Il avait connu tant de bataille, pourfendu tant d'ennemis, que la musicalité de laguerre lui paraissait une musique douce et rassurante.
- Allons, faites donner la garde! Hurla t-il
C'était plus qu'il n'en fallait pour déchener ses hommes. Dans un cri aussi terrifiant que ceux prodigués par leurs adversaires, ils se jetterent corps et âme dans une mélée sanglante. Les deux corps de troupe s'entrechoquerent, et la bataille fit rage aussitôt. La technique de l'inquisiteur reposait sur trois points. Tout d'abord, l'experience de ses hommes. Ils avaient déja eu maintes fois l'occasion de combattre des ennemis plus nombreux, et avait développés des facultés de combat hors du commun. Ensuite, le chef de l'armée rivale. Toute l'armée en était dépendante. Coupez la tête au serpent et il ne pourra que gesticuler inutilement. Et enfin, sa carte maitresse, le dernier retranchement, l'ultime recours; une créature que ni homme ni dieu ne pouvais vaincre. L'immortelle, le phoenix. Sainte Celestine, l'incarnation même de la justice, dormant religieusement dans un cercueil scellé a la cire imperiale. Mais ces pustuleux de Nurgle ne méritaient pas de voir leur arme secrete. Du moin pas encore.
Marçerus, contrairement aux palots de l'inquisition, n'avait pas pour habitude de trainer a l'arrière des rangs, bien a couvert. Au contraire, il était toujours le premier a prendre des risques, a foncer sur l'ennemis. Il jucha son énorme masse energetique sur ses épaules, et se rua sur un groupe de tireurs qui harcelait son armée par salve meurtrière. Les malheureux n'eurent que le temps d'apperçevoir une ombre que leur tête était déja fracassée d'un coup de marteau. L'humain face au monstre ne reculais pas. D'un lourd coup de masse il pulvérisa un deuxième crâne. Le sang vert gicla sur son manteau immaculé. Quelle joie! Avec l'aide de sa cape-cuirasse il dévia une rafale de bolter. Il désarma l'assaillant d'un coup de manche et lui ajusta une puissante frappe meurtriere entre les deux yeux. Une escouade de corps a corps arrivait vers lui. Cette fois, ca n'allait pas être aussi facile. Il tourna la tête a la recherche de soutient. Il croisa le regard d'un officier. Le meilleur tireur de toute la troupe. Dans un accord tacite, il compris ce qu'il avait a faire. Marçerus se précipita sur les ennemis. Après une rapide annalyse, la victoire s'avérait certaine. ils étaient huit, trop sûrs d'eux, novice d'après la façon dont ils tenaient leurs armes. Pas très imposants, sans armes trop redoutable. Il fit virevolter sa masse et extermina deux ennemis. Un troisième, qui s'apprétait a frapper l'inquisiteur, vit son torse déchiqueté par une balle magnifiquement bien ajustée. Soudain, l'un deux bondit sur le chef et, avec l'aide de tous ses bras, parvint a le désarmer. Il était doté d'une force surnaturelle. L'inquisiteur, pris de fureur, asséna un coup de poing dans le ventre de son adversaire. A la grande surprise de celui ci, l'estomac fut transpercé comme un rien. Les boyaux giclèrent partout. La vraie force de l'inquisiteur était là. Non pas dans son marteau, mais dans ses énromes gantelets énergétiques. La rage le pris, et les ennemis restant furent réduits en bouille face a la force incomensurable déployée par leur adversaire.
La guerre fesait rage, les rafales de bolters frappaient partout, les bras gisait sur le seul devenu rouge.
- Les ennemis sont trop nombreux! On ne va pas tenir longtemps! Hurla un soldat, avant que sa tête ne soit explosée d'un tir.
- Je sais, je sais, répondit négligement Marçerus. Neutralisons le chef.
Il jeta un rapide coup d'oeil aux alentours avant de repéré un guerrier énrome, aux armes gigantesques, en train de découper ses hommes comme du beurre.
- Sainte Celstine, on va peut être avoir besoin de toi... Souffla l'inquisiteur, avant de se ruer encore une fois dans une terrible bataille.
Voila, merci de m'avoir lu! Encore une petite chose, je suis ASOLUMENT NAVRE POUR LES FAUTES D'ORTOGRAPHE!! Je sais qu'il y en a plein, plein, plein, donc mille excuses, j'éspère que ca ne vous aura pas géné dans la lecture.
Dim 17 Déc 2006 - 14:35
