Les yeux du loup.

Les Yeux du Loups
Par Heimmenrich

Chapitre I] Le souffle par delà la vision

_"Retient ton souffle Heim, sans ça tu n'y arriveras pas. Reste calme et posé, attend et place doucement ton doigt sur la gachette. Essaye de sentir le prochain mouvement de ta cible, pour celà ferme les yeux et concentre toi. Ressent la chaleur qui émane de ton corps, ressent ma chaleur corporelle et enfin ressent celle de celui qui est ta cible."

J'entendais la voie devenir faible et rassurante, j'ecoutais doucement et alors que je fermais les yeux pour tenter d'appercevoir la chaleur corporelle de la cible, je sentais monté en moi l'excitation et l'ivresse de la puissance que me procuré mon fusil. Mais je devais garder mes nerfs, ne pas trembler, car aux moindres faux mouvements, je pouvais presser la détente, et ne pas atteindre ma cible.

_"Garde ton calme mon fils, reste immobile, coupe ton souffle, arrête de penser et tente de regarder par delà la vision de tes yeux. Sent l'air frais fouetter ton visage, ressent le vent glacial te gifler. N'oublie jamais que où que tu sois, quoi que tu ai fait, ou qui que tu deviennes, tu restes un homme comme les autres. La seule chose qui pourra te différenciée des autres, c'est l'acuité sensorielle, la rapidité et surtout ton esprit."

Alors que les paroles devenaient des murmures, j'écouté les bruits autour de moi. Tout étaient calme, j'entendait le vent se frotter contre mes oreilles, le froid qui griffait mes mains. Mais par delà ceci j'entendait aussi deux choses éloignés et faibles. Un souffle d'homme et plus au loin, le souffle de ma cible. La distance nous séparant était grande et du point ou j'était elle ne pouvais me repérer.
Lentement mais surement j'appuyais sur la détente et un grand bruit ce fit. Puis je ne ressentit qu'un seul souffle et j'ouvris les yeux.

_"Mon capitaine, nous sommes arrivé. Terminé"

Le communicateur interne de la chimère venait de résonner. je le pris et répondit.

_"Bien, reçu. Ouvrez la rampe d'accès et suivez le véhicule du Colonel Zkranc. Puis rejoignez nous à la cantine. Terminé."

Je posais le communicateur et regardais lentement chacun des hommes présent ici alors que j'emmergeais de mon rêve. Je vis Boris le radio, prendre son commincateur et descendre le premier, puis ce fut autour de Niewsk le grenadier, et enfin le doc et Miechv l'étendart de la compagnie.
A mon tour je pris mon barda et je descendit du véhicule qui repartit de rechef ans un bruit assourdissant.

Les sergent des différents peloton était entrain de courrir vers moi. Lorsqu'ils m'atteignirent, après les salutations de rigueur je pus enfin leurs donner la consigne du soir.

_"Bon pour ce soir c'est repos. Georg toi et ton peloton vous avez pas de chance, vous êtes de corvés vu que lors du transférement vous avez étaient les seuls à ne pas l'être. Les autres vous prevenez vos gars, on se retrouve tous au mess pour un rapport sur le voyage et la journée de demain. Pour l'Empereur. Deus ex machina."

Chapitre II] Repos

La nuit venait de tombé. On pouvais admirer au loin, les lumières de la ville que nous ne tarderions pas à attaquer. Tant de calme, de sérénité. Nous n'étions plus des soldats, nous étions redevenu des hommes au service éternelle de l'empereur. La splendeur de la toundra glacée par le rude hiver Thalassien.

Bientôt ce magnifique spectacle ne serait plus que ruines, désolation et cimetierre. Ainsi était le destin des mondes qui devaient subir la colère de l'empereur.

_"Capitaine, vous voulez une tasse de Café?"

_"Oui, si tu veux Boris."

J'avais tout de suite reconnu le radio de mon escouade à sa voix si perceptible et dur. Il me tendit le gobelet et vint se positionné à côté de moi. Lui aussi se pencha sur la rembarde du poste de commandement et contempla le paysage. Nous restâmes longtemps à regarder le paysage nocturne si paisible et silencieux.
Puis il décida de trancher net.

_"Dite moi mon capitaine, on se demandait avec les gars de l'escouade si demain on pouvait pas, enfin vous savez quel jour c'est demain... Voilà quoi, ça ferais du bien à la compagnie."

je le regardais étrangement, car cette homme si bourru et fort n'avais pas pour habitude de parler aussi vaguement, et de cette manière là.
Il était d'habitude encréer dans un ton moins sollenel, plus militaire, et ne l'ouvrait que pour aboyer les ordres que je lui donner.

_"Sans problème. J'y assisterais moi aussi, mais n'oublie qu'à 18.00 nous devons faire un vol de reconnaissance. Si tu veux je présiderais la cérémonie. Ainsi je pense que celà rapprochera un peu les liens et détendra l'atmosphère avant l'assaut. Tu sais pour nous tous c'est un jour important. Je me souvient quand on c'est formé, il reste peu des anciens, je vais même te dire je crois que vous êtes notre escouade n'est composé que des derniers anciens."

Je me forçait à rire pour détendre l'atmosphère et fut bientôt suivit par mon camarade. Puis la rigolade devint franche et nous eûmes la chance de pouvoir en rire. Après celà valais mieux que d'en pleurer. Je regardais le visage de mon coéquipier s'ouvrir grandement sous le rictus, et celà me fit sourire et me remplit de joie intérieurement. Nous risquions de mourrir dans deux jours et nous étions là tous les deux à rire comme des enfants.

_"Capitaine, je me demande à propos du colonelievitch? Vous pensez qu'il agira convenablement? Je veux dire pas que je mette en doute ses capacités, mais on a discuté avec quelques gars du 29ème de Valhalla qui avaient déjà agis sous son commandement et ils n'ont pas grande estime pour lui, il le surnomme le boucher blanc... C'est vous dire."

_"Ne t'inquiète pas, il à beau être Colonel, j'ai la responsabilité de la compagnie. J'ai parlé à ce sujet au commissaire Tieskï et il va l'avoir à l'oeil. A première vu, il va le gardé sous son manteau et si il abuse un peu trop sans donner de résultat il risque fort de rencontrer le Bolter du commissaire. Mais te soucie pas de ça.
Au faite tu as écris à ta femme? Je crois que c'est pour bientôt non?"

A ces mots Boris sourit timidement, d'une manière un peu enfantine, si je ne le connaissais pas depuis si longtemps, j'aurais cru qu'il était géné de la question.

_"Oui, normalment après cette planète, on aura un beau garçon, en plus ça tombe sur la permission et le retour. Et vous alors vous acceptez toujours d'être le parrain?"

Je regardait l'homme et lui sourit amicalement avant de lui tappoté franchement l'épaule.

_"Rien ne me ferais plus plaisir et tu le sais. Bon allez, on finis vite ici comme ça on rentre plus tôt. Allez allons nous coucher."

Et nous regagnâmes en rigolants sur divers sujets plus ou moins falacieux nos quartiers. Toutefois, je savais bien au fond de moi que nous resterions sur cette planête plus longtemps que nous ne l'avions prévus.

Chapitre III] Reconnaissance

Ils étaient tous alignés devant moi, ils avaient mis leurs uniformes de parade et me regardaient avec cette petite lumière d'espoir dans les yeux enclin de nostalgie et de fierté qu'ils n'avaient pour la plupart pas vécu.
J'avais passé une grande partie de la nuit à rédiger le texte, je l'avais lu et relu pour finalement le savoir par coeur. Boris était à ma droite et Miechv à ma gauche.
Chacun des pelotons était rangé correctement, tous allignés parfaitement. Les lueurs matinales se reflétaient dans les décoration, les parties métalliques des armures ou celles des fusils.
La neige avait cessé de tomber et le spectacle qui s'offrait sous mes yeux ne pouvait être égalé que par celui que j'avais vécu alors que notre régiment venait de se former.

A cette lointaine époque j'avais était choisit pour diriger la Vème compagnie du 453ème Vostroyen, je me souviendrais toujours de ce moment ou mon coeur c'était emplit d'une fierté et d'un amour pour ma patrie. C'était exactement à la même heure. Seul changement les personnes. De l'effectif de départ il ne restait plus que ma section personnel, ensemble nous avions étaient de tous les combats de notre régiment, nous nous respections mutuellement et nous étions lié les uns aux autres. La mort d'un de ses vétérans était comme la perte d'un frère.

_"... Ainsi souvenez vous toujours, fière soldat de Vostroya de vos frères tombés au champs d'Honneur. N'oubliez jamais le sang qu'ils ont coulés pour vous. Ils sont maintenant assis à la droite de l'empereur. Leurs souvenirs sont votre bouclier contre les ignominies calmonieuses.
De ce faite vous êtes frères d'armes, et c'est la compagnie qui survis grâce à vos actions. Seul nous ne sommes que des hommes, ensemble nous sommes une famille qui endure les même souffrances. Tant que l'un d'entre nous survivra, nous seront immortels..."

Boris se tenait droit comme un Custodes, il était mon semblable. Lui aussi devait se rappeler le jour béni, les moments de terreur que nous avions passé ensemble. Même si nous n'étions pas frère de sang, nous êtions frêre d'arme, et le lien qui nous unissait était indestructible.
Miechv scrutait du regard chacune des personnes présente devant lui. En temps que porteur de la bannière de la compagnie, il devait veiller à jamais sur elle. Il n'avais pas reculé ni ne l'avait laissé tomber depuis tout ce temps.
A l'époque je l'avais choisis pour porter la bannière car durant l'école il avait montré toute les capacité à remplir ce rôle. Il était peu loquace, mais lorsqu'il prener la parole, il avait toujours les mots qu'il fallait pour remonter le morale.

_"...Souvenez vous que lorsque votre mort arrivera, ce sera peut être l'homme qui est à côté de vous qui entendra vos dernières paroles, respectez le comme le frère qu'il est. Aujourd'hui nous sommes au devant d'une guerre qui ne prendra fin que lorsque l'un des deux camps périra. Par Sa volonté j'espère qu'Il nous offrira la victoire et que nous rentrerons chez nous auréolé d'une nouvelle victoire.
Major Miechv veuillez lever l'étendart."

Et Miechv obeït sans discuté. Il leva l'étendart qui était traversé par les rayons du soleil. L'ombre rougeoyante s'étendait sur toute la compagnie, peut être était ce un mauvais présage? Seul l'avenir pouvait nous le confirmer.

_"Soldat de Vostroya souvenez vous toujours de ce jour, encré le au plus profond de votre mémoire, car beaucoup d'entre nous ne survivrons pas pour voir de nouveau notre étendart s'élevé au dessus de nos têtes.
Civitae Vostroya!!! Semper fidélis!!!!"

Et le choeur reprit ces quelques mots avec fierté avant de se disperser. L'étendart flottant toujours au dessus de nous.

Hello.

Je dois mettre en suspend mes récits car j'ai eu la date du passage de mes EAG.
Donc je ne paux pas continuer pour l'instant, je reprendrais dès que possible ou quan j'ai du temps.

Très bon texte, on ne se retrouve pas dans une bataille dès le début donc pour cela il est original, j'attends la suite et t'inquiète Orion c'est déjà bien que tu mettent un récit donc si il y en a qui se plaigne, ils n'ont qu'à en écrire un.

Merci. En faite ce récit va être assez long et diviser en plusieurs volume de chapitres. Là c'est le volume I soit en gros la préparation et l'avancée.
Toutefois, j'espère vraiment finir tout ceci avant que mon armée de Vostroyens soit prête, car la trilogie du loup est en faite l'historique de mon armée et de certains de ses personnages.

Bien sur sachant que j'ai le temps après ma phase 1 du concours (si je la reussit et je l'espère grandement) je pourrais adopter un rythme plus grand d'écriture sachant que tous les chapitres sont dans ma tête (et y en as un paquet).

Je vais m'y remettre tout de suite profitant d'une courte pose.

Chapitre IV] Vol

La valkyrie venait de prendre son envol. Les turbines rugissait de puissante en estrayant le monstre d'acier du sol. Nous dominions le campement escorter par trois Vultures. Mon équipe m'avait accompagné sauf Miechv qui était resté au campement afin de surveiller le drapeau de la compagnie.

Nous survolions doucement les doux et langoureux paysage de Thallasia IV, les magnifiques toundras de pins gelés, les steppes enneigées ou l'on pouvait encore voir des animaux vaquer à leurs besognes. Au loin le soleil commençait lentement à décliner, dorant de sa triste paleur la blancheur immaculé d'une teinte rougeatre voir orange. Tout était calme, je regardais le pilote me signalant que tout aller bien et qu'il metter en place le sytème de camouflage sonore.

Boris pour sa part établissait les coordonées de notre vol et définissait au mieux les trajectoires pour éviter les defences Anti-Aérienne et autres silo de missile sol-air. Nous pouvions respirer et aspirer au calme et à la sérénité. Tout aurait parfait si seulement nous n'étions pas là pour tout détruire. C'était aussi celà la vision d'un garde au service de la plus grande machine de guerre de l'humanité. Un grain de sel qui avait le pouvoir de détruire les plus beaux paysages.

_"Mon capitaine, nous n'allons pas tarder à survoler l'Alpha."

_"Bien Boris, passe moi les jumelles. Etablis le contact radio avec le PC, nous allons savoir si c'est bien ce que nous recherchons."

Et il me tendit les jumelles que je pris dans la foulée, puis se dépécha d'établir cette foutue connexion qui nous servirais à tout anéantir.

Je mis les jumelles devant mes yeux et commençait à scruter la zone. Effectivement il y avait bien ici ce que nous recherchions... Et même beaucoup plus que nous ne pouvions esperer. Je chassais toutes les visions de splendeur et un rictus de terreur s'afficha sur mon visage alors que mon esprit tentait de garder son calme.

_"Boris, passe moi le PC, c'est urgent!! Pilote on rentre au Quartier général, et vite, on ne reste pas une seconde de plus ici!! Grouillez vous par Mars!!!"

Le pilote passa vite un message dans le communicateur et repris la direction du Quartier général en poussant les moteurs à leurs puissance maximal alors que mon radio me tendait l'appareil.

_"PC, ici l'équipe Zebra en reco, code noir sur la zone alpha, détection de pilones mortuaire étant identifié comme de la race Necrontyr. Visuel sur 3 régiments de FDP corrompus autour des pilones. Visuel et identification par termo d'unité appartenant au renégat de l'adeptus. Demande à effectuer au Pc. Nous rentrons terminé."

_"Bien reçu Zebra, authorisation de rentrer."

Je ne savais pas ce que cette saloperie venait faire ici. On nous avait juste signalé au départ que certains FDP c'était soulevé. Je regardais l'équipage de la Valkyrie. Leurs visages décrivait leurs compréhension de la situation dans laquelle nous étions.

_"Boris, quand on rentrera je te donne la permission d'envoyer un courrier à ta femme stipulant que tu risques de rentrer plus tard que la dâte prévue, il en va de même pour vous tous."

Chapitre V] Children of the Revolution

Je descendais de la Valkyrie suivit par mon équipe et très vite rejoint par Miechv et le colonel commisaire Tieskï. Nous n'eurent même pas le temps de nous saluer que nous rentrions déjà dans le batiment habritant le PC. Je rentrais sans frapper dans le bureau du Colonelievitch. Je le saluais respectueusement en regardant ce gros porc assis confortablement fumant tranquillement son cigare et me défigurant comme si je n'était qu'un vulgaire grots.
Il me répugnait vraiment, il affichait un nombre incalculable de médaille pour des batailles dont il n'avait vu que les cyber-hologrammes. Des gens comme lui ne méritait pas de Le servir, ils étaient la lie de la plurocratie de la garde impériale.

_"Mes respect colonelievitch, je viens au rapport suite à nos découverte. Comme vous devez le savoir..."

_"Je devrais savoir quelque chose d'important sur ce que vous avez "découvert"? Ce n'est pas grand choses... Nous avons des blancs qui sauront faire merveille contre ça le temps que nous mettions en place les batteries de tir orbital."

Ce gros porc parlé du massacre de centaines d'être humains, de jeune garde impériaux pour qui c'était la première mission. Si je nous étions tous les deux, je lui aurais déjà logé une balle dans la tête. Il me dégoutait vraiment... Il était ce que je détestait le plus dans l'humanité, l'ignominie calomnieuse se complaisant dans la décadence, se cachant derrière son poste en envoyant mourrir des personnes dont il n'avait jamais vu le visage.

_"D'ailleur capitaine, je crois que vous et votre compagnie servirait parfaitement dans ce rôle. Après tout, ne dit on pas que les Vostroyens ont quelque chose à se faire pardonner? Et bien si vous revenez, vous serez peut être éventuellement pardonner à mes yeux. Maintenant vous pouvez disposé. J'ai autre chose à faire que de parlementez avec vous."

Il dit celà avec un tel ton en crachant la fumé de son gros cigare à ma figure. Un jour ce porc finira devant un peloton et je serais le premier à faire feu.

_"Bien mon colonel. Que l'Empereur vous gardes."

_"Attendez capitaine... Colonel, il me semble que la 5ème Vostroyen serait bien plus utile dans un rôle de contre attaque ou d'occupation de batiment urbain. Ils sont formés pour ça, et je pense qu'il est inutile de les envoyer pour des missions dont ils ne connaissent pas les subtilités. je pense qu'envoyer votre 386ème Cadien conviendrait bien mieux. Ils sont plus aptes à se genre "d'opérations".

_"Voyons Colonel-commissaire vous n'y pensé pas?"

Le commissaire regarda le colonelievtich dans les yeux, écrasant sa casquette à visière sur sa tête jusqu'a que son regard ne soit presque plus visible. il tapotta amoureusement et nonchalement en souriant son holster. Je regardais en souriant sournoisement le visage du porc suinté de sueur.

_"Capitaine, voulez vous sortir."

_"Bien commissaire, Equipe nous sortons attendre le commissaire hors de la pièce. Mon commissaire, qu'Il guide vos actes et votre main".

_"Ne vous inquietez pas capitaine, Il le fera."

_"Mes respects Colonelievitch. Puisse l'Empereur vous aiguillez sur le chemin à parcourir. "

Et je quittais la salle accompagné de mes compagnons. Nous étions attentif aux moindres bruit se passant dans la salle. Nous entendîmes des cris de dispute émanant du Colonelievitch. Puis un bruit sourd se répercuta dans tout le PC et la porte s'ouvrit.

_"Maintenant je reprend les opérations sur Thalassa IV."

Le commissaire se tourna vers moi.

_"Nous sommes quitte maintenant Siev. Depuis le temps que je suis affecté avec ton régiment, ceci relevé de la stupidité et d'un sacrifice inutile. Ta compagnie servira directement sous mes ordres. De plus tu es nommé Lieutenant-Colonel. Les galons sont sur le bureau, tiens voici le papier signé de la part du Colonelievitch."

(Et bien la nuit m'est productive )

Chapitre VI] Sunny

Nous étions assis là, prenons un repos bien méritait dans notre cantonnement, Miechv discutait avec le doc et ils essayait tous les deux leurs nouveaux uniformes. J'avais pris du galon, mais chacun de mes hommes aussi. Le doc avait était promus chef médecin, Miechv major, Boris Lieutenant chargé des transmitions radio et enfin Niewsk était devenu adjudant chef.

Personne n'avais osé remettre l'execution du porc en question. Sacrée Tieskï, depuis le début de la création de la compagnie il avait était avec nous. Il montrait une grande humanité envers nous, mais nous lui rendions bien. il n'avait, pour l'instant, jamais sortit sont arme ou dis un mot de trop contre la compagnie. Il savait que nous irions jusqu'au bout du monde et même plus loin si ont nous le demander. Nous étions la cinquième compagnie, ont nous surnommé les "Strelstis". Maintenant avec ma prise de pouvoir, nous étions en attente de renfort d'une autre compagnie issue de notre régiment. La 6ème avait subis de lourde perte, nous allions donc absorber ce qu'il en restait afin d'augmenter la taille de la compagnie. Nous connaissions bien les gens de la 6ème, ils était tous issue de la même école que nous.
Subitement je ne sais pourquoi je me pris à regarder Boris.

_"Boris, quelque chose te tracasse?"

Il me regarda la mine défaite.

_"Mon Lieutenant Colonel, j'aimerais vous demandez si ce que vous m'avez dit dans la valkyrie toute à l'heure était encore valable? Vous savez pour le mot à ma femme..."

Je descendais de mon lit et pris mon veston.

_"Boris suis moi. Nous sortons."

Et alors que les hommes reprenez un "Bien mon lieutenant colonel" en choeur, je passais le pas de la porte avec Boris sur mes talons. je le conduisit jusqu'au bureau des transmitions textuelles.

_"Boris je tient toujours une parole, maintenant vas y, tu dois savoir ce qui va être censuré. je ferais la correction devant toi si tu le souhaite. Vas y."

Et il commença à crypter son message, et pris son temps pour choisir chacun de ses mots. je le voyais hésitant et lui conseilla certains mots plutôt que d'autre, de formuler tel ou tel phrase de cmanière que son courriel ne soit pas déclaré Perdita ou censuré.
Puis une fois qu'il l'eut finis il me la tendit.

_"Bien je te la lit à voix haute:
"Sunnyevski, ma tendre.
Nous savons à présent que notre présence ici demandera plus de temps, car dans Sa sainte clairvoyance, Il a voulu nous tester, pour vérifier notre foi en Lui. Je prend cette épreuve comme une bénédiction qu'Il nous offres. puisse t'Il être bénis entre tous de nous offrir ce présent. Sache que je reviendrais grace à Lui auréolé de gloire et que nous seront tous fière qu'Il nous ais accordé cette juste et noble mission. Puissiez vous, toi et notre enfant, voire dans l'action que nous entrepenons, le devoir que nous avons à accomplir envers Lui. Il est notre dieu, notre force, notre bouclier contre l'impureté et la souillure.
Je reviendrais très bientot mon amour, et ensemble nous construirons se que nous avons toujours voulu.
Grace à la bienveillance du Colonel Commissaire Tieskï, j'ai était promu Lieutenant. Puisse le commissaire être bénis de Sa clairvoyance.
Je t'aime et resterait toujours l'homme qui garde ton coeur.
Que l'Empereur te garde.
Lieutenant Boris Miedovski 5ème compagnie du 453ème Vostroyen."

Je regardais Boris et lui sourit alors que je donner ce courriel à l'officier chargé des relations avec les civils. Puis nous repartîmes vers nos quartiers.

Snif ya pas de nouveaux chapitres depuis le temps ? :'(

Je crois qu'on est pas près de recroiser Heim. Peros j'ai plus de nouvelles.

Il ne serait pas dans la marine nationale ??

Possible...
Que ceux qui sont sur facebook utilise ce site pour sa fonction première et on sera tout